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Interview mit Jean-Pierre Kratzer: Der SPV-Präsident über PMU-Rennen und die Situation in Dielsdorf

Freitag, 17. Dezember 2010 13:37

Jean-Pierre Kratzer nimmt in einem horseracing.ch-Exklusiv-Interview vom Donnerstag (16.12.2010) kein Blatt vor den Mund - unter anderem äussert er sich zu den PMU-Rennen, der grossen Chance für die CH-Galopper sowie nicht zuletzt zur Situation in Dielsdorf.

Das Interview wurde auf franösisch geführt (deutsche Übersetzung: siehe weiter unten!)

 

1) Monsieur Kratzer, la saison 2010 est terminée. Vous êtes satisfait?

 

Jean-Pierre Kratzer: Ce fut une très, très belle année ! Tant sur le plan sportif que sur le plan des chiffres. 2010 constitue un record historique en ce qui concerne le nombre des courses et le montant total des allocations distribuées. L’évolution et le niveau des courses en Suisse, comparés à l’évolution constatée dans les pays européens,  reflètent la vitalité de notre système et confirment que les choix stratégiques que nous avons faits au cours des 15 dernières années étaient pertinents.


2) Les courses PMU à Avenches connaissent un grand succès. Comment voyez-vous l'évolution du PMU en Suisse pour la saison prochaine?

JPK: En 2011, 200 courses PMU seront disputées en Suisse dont 196 à Avenches. Sur le plan international, la Suisse devient le pays le plus important pour le PMU et les sociétés de courses françaises. Nous sommes actuellement dans une phase de réflexion et de planification. Si pour le trot l’objectif est de maintenir les résultats obtenus en 2010, il en va tout autrement pour le galop. Les courses PMU représentent un enjeu capital pour la discipline. En effet, sans les courses PMU, les allocations du galop  comprenant  le sponsoring de Galopp Schweiz ( 75'000.-)marquerait en 2011 une baisse de 15 % du nombre de courses et du montant des allocations par rapport à 2010. 

Notre « challenge » est de réaliser pour le galop un chiffre d’affaires PMU proche du double de celui constaté cette année sur les courses de galop de Windsor. Ceci permettrait à IENA de financer le programme total trot et galop d’Avenches à hauteur de plus de 500'000.-, somme qui viendra  s’ajouter aux 450'000.- en provenance des sponsors de l’ IENA, dont Galopp Schweiz et Suisse Trot émargent pour chacun 75'000. L’ADEC ne versera que 1'880'000.- pour les dotations  sur un total prévu de 2'850'000.-. Nous avons une obligation de réussir, et pour cela nous devons encore travailler sur la stratégie, notamment en ce qui concerne les conditions de courses du galop, et fixer notre approche commerciale pour ces courses vis-à-vis du parieur français. N’oublions pas que nos concurrents sont dans le galop Dubaï, Baden- Baden, la Breeder’s Cup et le Turf Anglais….Il faut être conscient que 2011 est une année capitale et décisive pour le galop !


3) Le fait de pouvoir organiser aussi des semi-nocturnes PMU à Avenches pour le galop constitue un grand privilège. Comment avez-vous réussi à persuader France Galop?  


C’est le fruit de nos relations et de notre contribution aux sociétés de courses françaises et au PMU au cours des dernières années. C’est aussi le succès inattendu des courses de Trot en 2010 à Avenches et à Mons en Belgique, tant du point de vue du chiffre d’affaires, que du point de vue du déroulement et de l’organisation des courses à Avenches, qui a convaincu France Galop d’adopter une stratégie internationale proche de celle pratiquée en 2010 par la SECF.


4) Une question  intéresse spécialement les parieurs: quand pourra-t-on  jouer en ligne de la Suisse sur les courses PMU?

Dans le courant de l’année 2011. Nous avons une réunion importante avec la LORO avant Noël et seront en mesure de communiquer à ce sujet avec plus de précisions.


5) Quels sont les sujets qui retiennent tout spécifiquement le président de FSC, de l'AH et de Suisse Trot que vous êtes?


Maintenir le niveau actuel de nos activités en espérant que Galopp Schweiz prenne cette nouvelle évolution comme une chance  et participe au projet avec enthousiasme et un esprit d’ouverture largement partagé et non pas avec un sentiment de contrainte et de résignation.  

 


6) Quelle évaluation faites-vous de la situation acutelle à Dielsdorf? Que savez-vous du projet?

JPK: Je ne suis pas surpris du comportement décevant du comité RVZ et à ce jour le 16 .12.2010, je suis informé comme tout le monde du projet auquel vous faites référence.


7) Avec vos bonnes rélations avec la France, avez-vous rencontré José Bruneau de la Salle, présenté par Martin Gloor lors des négociations en tant que relation importante vis-à-vis du PMU?

JPK: Les membres des comités que je préside ont comme moi  des contacts privilégiés avec les Présidents, Directeurs et membres des conseils  du PMU, de France Galop et de la SECF. Nous nous rencontrons régulièrement pour traiter de nos relations d’affaires.
La FSC est liée par contrat avec le PMU, France Galop et la SECF pour la tenue des courses en Suisse, et en particulier pour 2011 à Avenches, Frauenfeld et St Moritz.

 


8) Début 2010 vous avez eu l'occasion d'analyser la situation du RVZ. Quelle était votre conclusion?

JPK: Dans un rapport remis à fin mars aux membres du comité RVZ, comprenant notamment les rubriques

-          Résultat et présentation des résultats
-          Plan de trésorerie au 30 juin 2010
-          Sources de financement
-          Assainissement

je concluais par : « La situation est critique et l’augmentation des créditeurs non payés « hors sociétés de courses » constituent un danger toujours plus important pour le RVZ. Par ailleurs, son organisation, ses structures de fonctionnement ne semblent pas adaptées à la gestion moderne d’un hippodrome et ne permettent pas de garantir une continuité des affaires dans la sérénité.
Enfin, la présentation des comptes telle qu’elle est remise par les responsables du RVZ est subjective et ne correspond pas à la réalité des faits. Sa lecture ne donne pas une idée claire de la situation. Le problème important de trésorerie implique irrémédiablement une décision d’assainissement importante. »
JPK 24 mars 2010


9) Quelles mesures d'urgence voyez-vous à ce sujet?
Le comité FSC a réagi aux derniers événements et se prononcera à nouveau au début du mois de janvier sur la base des renseignements qu’il a demandés aux responsables RVZ.

 



voici la publication du FSC (dans le bulletin officiel)

FEDERATION SUISSE DE COURSES DE CHEVAUX
Communications du Comité

SUIS

Au cours de sa séance téléphonique du 13 décembre 2010, le comité de la Fédération Suisse des Courses de chevaux (FSC) a examiné la situation du Rennverein Zürich (RVZ) et des conséquences sur le programme des courses 2011.


Traitant du calendrier définitif des courses  2011  au cours de la réunion de l’Association des hippodromes (VRV) du 26 novembre dernier, et en présence de tous les Présidents de champs de courses, le RVZ, par l’intermédiaire de Monsieur Syz, a confirmé la tenue de 3 journées de courses  à partir du mois d’août, organisées sous la  responsabilité de Monsieur Martin Gloor, avec lequel le RVZ a passé un accord important. Il fut clairement précisé que toutes les informations détaillées, tant en ce qui concerne cet accord que le projet d’investissement seraient communiquées lors de réunions d’informations agendées au 9 décembre 2010.
A l’issue de ces séances, le comité FSC a constaté, contrairement à ce qui avait été annoncé le 26.11.2010 :
-          qu’aucun accord définitif n’est signé ou en voie d’être signé au cours des prochains jours entre le RVZ et M.Gloor,
-          que le projet de constructions n’a pas été exposé,
-          que les constructions sont prévues en 2012, et plus en 2011
-          que le programme de courses 2011 du RVZ n’est pas connu, ni garanti.


Afin de pouvoir définir le programme 2011 et d’élaborer les conditions de courses, le comité FSC a décidé :

-          de demander aux responsables du RVZ d’indiquer le nombre de journées de courses, le budget des dotations prévues et leur source de financement pour 2011,
-          de recevoir un compte d’exploitation et un bilan provisoires 2010 du RVZ,
-          de fixer un délai au mercredi 5 janvier pour recevoir toutes ces informations.

Sur la base des documents et informations en sa possession début janvier, le comité FSC prendra toutes les décisions et mesures qui s’imposent  afin de sauvegarder l’intérêt général des  actifs de Galopp Schweiz et de Suisse Trot.

Avenches, le 13 décembre 2010
Au nom du comité FSC
Jean-Pierre Kratzer, président

 

 

 

Die deutsche Übersetzung des Interviews

 

1) Herr Kratzer, die Saison 2010 ist vorbei, wie sind Sie damit zufrieden?
Jean-Pierre Kratzer: Es war ein sehr, sehr schönes Jahr! Dies sowohl auf sportlicher Ebene wie auch zahlenmässig. Im 2010 konnten wir historische Rekorde feiern bezüglich der Gesamtanzahl der Rennen und bezüglich der ausbezahlten Preisgeldsummen. Die Entwicklung und das Niveau der Schweiz verglichen mit der Entwicklung in den anderen europäischen Ländern zeigen die Vitalität unseres Systems und bestätigen, dass die strategischen Entscheide, die wir während der letzten 15 Jahren gefällt haben, richtig waren.

 

2) Die PMU-Rennen in Avenches sind ein voller Erfolg. Wie sehen Sie die Entwicklung der PMU in der Schweiz für die kommende Saison ? 
JPK: Im 2011 werden in der Schweiz 200 PMU-Rennen gelaufen, davon 196 in Avenches. Damit wird die Schweiz auf internationaler Ebene das wichtigste Land für PMU sowie für die französischen Dachverbände. Wir sind in der aktuellen Phase mitten am Überlegen und Planen. Während für die Sparte Trab das Ziel ist, die im 2010 erzielten Resultate zu halten, geht es für den Galopp um etwas ganz anderes. Die PMU-Rennen stellen eine kapitale Herausforderung für diese Disziplin dar. Denn ohne die PMU-Rennen würden die Galopp-Preisgelder (inklusive dem Sponsoring von Galopp Schweiz von 75'000 CHF)  im 2011 gegenüber 2010 eine Baisse von 15% erfahren, dies gilt auch bezüglich der Anzahl der Rennen.


Unsere "Challenge" ist nun, für die Galopprennen PMU-Umsatzzahlen zu realisieren, die nahezu doppelt so hoch sind, wie diejenigen während des diesjährigen Meetings in Windsor. Dies würde dem IENA erlauben, das gesamte Programm für Trab und Galopp in Avenches in Höhe von mehr als 500'000 Franken zu finanzieren - eine Summe, welche sich zu den rund 450'000 Franken aus Sponsoren-Quellen des IENA addiert, wovon Galopp Schweiz und Suisse Trot mit jeweils 75'000 Franken. Die ADEC trägt 1'880'000 Franken an die Dotationen bei, womit wir auf eine geplante Summe von 2'850'000 Franken kommen.


Wir haben eine Verpflichtung, Erfolg zu haben, und dafür müssen wir weiter an unserer Strategie arbeiten, insbesondere betreffend der Galopp-Ausschreibungen, und wir müssen unseren kommerziellen Ansatz für diese Rennen auf die französischen Wetter ausrichten. Denn wir dürfen nicht vergesen, dass unsere Konkurrenten bei den Galopprennen Dubaï, Baden-Baden, der Breeders' Cup und der englische Turf sind. Wir müssen uns bewusst sein, dass 2011 ein ausgesprochen wichtiges und entscheidendes Jahr ist für den (Schweizer) Galopprennsport.

 

3) Ein besonderes Privileg ist die Tatsache, dass nun auch PMU-Seminocturnes für die Galopper in Avenches stattfinden. Wie konnten Sie France Galop davon überzeugen?
JPK: Das sind die Früchte unserer Verbindungen und unserer Zusammenarbeit mit den französischen Rennsport-Verbänden und mit PMU während der letzten Jahre. Und es hängt auch mit dem unerwartet grossen Erfolg der Trabrennen in Avenches und im belgischen Mons zusammen. Dies sowohl bezüglich der erzielten Umsatzzahlen als auch bezüglich der Abläufe und der Organisation der Rennen in Avenches, was France Galop überzeugt hat, eine ähnliche internationale Strategie zu übernehmen, wie die SECF sie im 2010 angewendet hatte.

 

4) Eine Frage, welche die Wetter besonders beschäftigt: Wann wird es möglich sein, in der Schweiz via Internet ins PMU-Netz zu Wetten?
JPK: Das wird im Laufe des Jahres 2011 der Fall sein. Wir haben eine wichtige Sitzung mit der LORO noch vor Weihnachten und werden dann über dieses Thema detaillierter informieren können.

 

5) Welches sind derzeit die Themen, welche Sie als SPV-, VRV- und Suisse Trot-Präsident am meisten fordern?
JPK: Es geht darum, das aktuelle Niveau unserer Aktivitäten zu halten, wobei ich hoffe, dass Galopp Schweiz diese neue Entwicklung als eine Chance wahrnimmt und an diesem Projekt (PMU) mit Enthusiasmus und offenem "Esprit", der von breiten Kreisen getragen wird, mitarbeitet - und nicht mit einem Empfinden des Zwangs und der Resignation.

 

6) A propos Dielsdorf, wie schätzen Sie die aktuelle Entwicklung ein? Was wissen Sie über das Projekt?
JPK: Ich bin nicht überrascht über das enttäuschende Verhalten des Vorstandes des RVZ und heute (16.12.2010) weiss ich nicht mehr als jede andere Person über dieses Projekt, das Sie ansprechen.

 

7) Mit Ihren guten Verbindungen nach Frankreich haben Sie bei Verhandlungen auch schon mit José Bruneau de la Salle, der von Martin Gloor als wichtige Verbindung zur PMU vorgestellt wurde, zu tun gehabt?
JPK: Die Mitglieder der Vorstände, die ich präsidiere, haben wie ich hervorragende Verbindungen zu den Präsidenten von PMU, France Galop und der SECF. Wir treffen uns regelmässig und pflegen einen engen Kontakt.
Der SPV ist zudem vertraglich mit PMU, France Galop und der SECF verbunden, für die Austragung der Rennen in der Schweiz, speziell für 2011 in Avenches, Frauenfeld und St.Moritz.

 

8) Sie hatten in der ersten Jahreshälfte 2010 die Gelegenheit, die Situation des RVZ zu analysieren. Zu welchem Schluss sind Sie gekommen?
 
JPK: In einem Rapport (mit den Themen: Resultat und Präsentation der Resultate, Liquiditäts-Situation per 30.Juni 2010, Finanzierungsquellen und Sanierung) zu Handen des RVZ-Vorstandes kam ich zu folgender Schlussfolgerung:
"Die Situation ist kritisch und die Erhöhung der nicht bezahlten Kreditoren "ausserhalb der Rennsport-Verbände" stellen eine immer grössere Gefahr für den RVZ dar. Ausserdem scheinen die Organisation, die Strukturen und der Betrieb des RVZ nicht an eine moderne Führung eines Hippodromes angepasst und erlauben es nicht, eine Kontinuität der  Geschäfts zu garantieren.   
Die Darstellung der Konten, welche durch die RVZ-Verantwortlichen präsentiert wurde, ist subjektiv und entspricht nicht der Realität der Dinge. So ergibt sich keine klare Idee der Situation. Das wichtige Problem der Liquiditätslage impliziert ohne anderen Ausweg einen dringenden Entscheid betreffend einer umfangreichen Sanierung.


9) Welche Sofort-Massnahmen sehen Sie diesbezüglich?
JPK: Der SPV-Vorstand hat auf die jüngsten Ereignisse reagiert und wird sich Anfang Jahr wieder äussern, auf Basis der Auskünfte, welche von den RVZ-Verantwortlichen verlangt wurden.

 

 

 

Hier die Publikation des SPV im Rennkalender:

 

SCHWEIZER PFERDERENNSPORT-VERBAND                                 
Mitteilungen des Vorstandes /


Anlässlich der am 13. Dezember 2010 gehaltenen Telefonkonferenz hat der Vorstand des Schweizerischen Pferderennsport-Verbandes (SPV) die Situation des Rennvereins Zürich (RVZ) sowie deren Konsequenzen aufs Rennprogramm 2011 analysiert.

An der Sitzung des Verbands der Rennvereine (VRV) vom 26. November 2010 wurde in Anwesenheit aller Rennvereins-Präsidenten der Datenkalender 2011 diskutiert. Der RVZ, vertreten durch Herr Syz, hat bestätigt, dass ab August 2011 drei Renntage, unter der Leitung von Herrn Martin Gloor, mit welchem der RVZ ein wichtiges Abkommen getroffen hat, abgehalten werden sollen. Detaillierte Informationen zu diesem Abkommen und zum Finanzierungsprojekt würden an der Informationsveranstaltung vom 9. Dezember 2010 mitgeteilt so Syz.

Nach Abhaltung dieser Informationssitzungen musste der Vorstand SPV entgegen der gegebenen Vorankündigung Folgendes feststellen:
-        Herr Gloor und der RVZ haben zur Zeit kein definitives Abkommen unterschrieben und die Unterschrift ist auch nicht in den folgenden Tagen zu erwarten.
-        Das Bauprojekt wurde nicht präsentiert.
-        Die Bauarbeiten sind erst für 2012 geplant und nicht mehr für 2011 wie vorab angekündigt.
-        Das Rennprogramm 2011 ist weder bekannt noch garantiert.

Damit das Rennprogramm 2011 definitif abgesegnet, und die Ausschreibungen ausgearbeitet werden können, hat der Vorstand SPV die Verantwortlichen des RVZ gebeten:

-          betreffend die Rennsaison 2011 zu hiernach aufgeführten Punkten Auskunft zu geben: Anzahl geplante Renntage, Budget und vorgesehene Dotationen sowie Finanzquelle.
-          eine provisorische Erfolgsrechnung sowie provisorische Bilanz betreffend 2010 vorzulegen.
-          die erwähnten Informationen bis 5. Januar 2011 einzureichen.

 
Sich auf die Anfang Januar eingereichten Dokumente und Informationen berufend wird der Vorstand SPV Entscheidungen fällen und Massnahmen treffen, die das Allgemeininteresse der Aktiven von Galopp Schweiz und Suisse Trot gewähren sollen.

Avenches, der 13. Dezember 2010                                     
Im Namen des Vorstands SPV
Jean-Pierre Kratzer, Präsident

 



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